Its My End Tonight... Baby Please Believe Me...I Was, I'm & I'll Nothing Without You...

Its My End Tonight... Baby Please Believe Me...I Was, I'm & I'll Nothing Without You... Ic110

Amber Fairytale

|| Mon Personnage ||

N

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P

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|| Me ||

P

rénom

A

vatar

C

ode

|| First Transformation ||

Il y a de cela de nombreuses années, lorsque j'étais jeune, enfin très jeune et pas seulement pour le physique. Ma mère ma raconter une histoire sur certains membres de notre famille, car elle ingorait si cela pouvait arriver aux jeunes filles comme moi. Mes parents étaient térrifiés à l'idée que tellet changement de vie pourrait m'arriver, moi j'ignorais tout à ce moment, tout me paraîssait normal et je n'allais pas changer. D'un côté, je voulais savoir de quoi ces histoires en retournait, mais d'un autre, apprendre l'origine de notre famille n'était pas la chose que je tenais à savoir le plus.

Ma mère avait longuement hésité avant de tout raconter, peut-être avait-elle peur qu'il m'arrive quelque chose par la suite. J'avais 17 ans quand mamère décida enfin de me parler honnêtement.

Se soir, on doit parler toutes les deux

C'est d'accord mère...

Son intonation de voix était étrange, elle semblait contrarié ou bien préoccupé par quelque chose qui lui semblait être vraiment important, quelque chose que j'ignorais. Étrangement, la journée s'écoula d'une lenteur hors de l'ordinaire. Depuis les derniers jours, le temps passait si vite, peut-être bien parce que c'était bientôt le jour de mon anniversaire, atteindre 18 ans, c'est un changement radical pour tout le monde, mais j'aurais jamais cru que moi, je changerais autant...

Le soir arriva enfin. J'étais debout, immobile devant la maison, le regard fixé sur la lumière provenant de la maison. Des larmes coulaient le long de mes joues. J'avais tellement espérer que mes parents cesseraient un jour de se crier l'un sur l'autre, que j'avais oublié à quel point c'est douloureux pour moi et que j'aurais du trouver un moyen de m'en protèger, aussi faible soit il. Après dix-sept ans, je n'étais toujours pas habituée d'entendre autant de cri provenant de ces deux personnes que j'adorais. J'étais cloué au sol. Je n'avais pas remarqué, mais mon coprs s'était mis à trembler. La nuit était froide et j'étais loin d'être vêtue pour passer des heures immobile dans le froid. Mais je n'avais pas le courage d'entrer et de les entendre mieux que de l'extérieur. Les yeux clos, j'avais presque oublié que je pleurais à chaude larmes, j'étais tellement concentré à essayer de ne plus entendre mes parents, que j'en oubliais quelques détails physique, comme que j'avais froid, que je pleurais depuis de longues minutes. Un bruit fort me sortit de cette torpeur, un bruit de porte suivi d'une série de paroles désobligeantes.

- Fais à ta tête vielle folle! Si elle devient comme toi, je n'aurais plus de fille! Ambre Fairytale n'existara plus pour mo...

Mon père s'était interrompu. Peut-être venait-il de remarquer ma présence. J'avais ouvert les yeux au moment ou sa voix avait prononcé mon nom avec un tel dégout. Ma respiration était devenu saccadée, tous les membres de mon corps tremblaient, mais plus de colère que de froid. L'homme devant moi avait encore une fois trop bu, il vidait toute sa colère sur moi, encore. Est-ce qu'un jour cette colère dispraîtra?

- Ambre...

Sa voix dérailla. Comme s'il était trsite. J'étais habitué à sa comédie, cette fois il allait véritablement le regretter. L'ignorant complètement, je marcha tranquillement vers la porte de la maison. N'osant même pas daigner me regarder, je lui lança un "bonsoir" à peine auditible. Une fois la porte franchit, j'eus envie de pousser un long et fort cri, je voulais tellement qu'il sache à quel point je souffrait par sa faute.

Ma mère sanglotait dans la cuisine. Je savais bien qu'elle allait me parler quand même, mais la peur de savoir la vérité m'envahi. Est-ce que c'était vraiment nécessaire pour moi? Une mince partie de mon esprit avait envie de le savoir. Étrangement, cette partie gagna. Sur le seuil de la cuisine, j'étais figée. Voir ma mère pleurer autant pour un homme qui ne le méritait guère était douloureux. J'aurais pu reculer, partir évacuer ma colère, ma mère ne m'avait pas encore remarqué. Je n'eus pas le temps d'y réfléchir plus longtemps que le son de sa voix effrayés résonna au creux de mes oreilles.

- J'aurais du t'en parler...Ambre je suis désolé...J'aurais du le faire bien avant...

Sa voix tremblait presque autant que mon propre corps.

- Ne vous inquiètez pas mère. Je ne vous en pas po...

- ARRÊTE!

Laisse moi parler!

- Bien....