•• D W A Y N E _ My Eyes will follow U

Dwayne Iseult LIVINGSTON

« Désirable Superstitieux Sadique
Perfide Charmeur Têtu Infidèle Indépendant
Sur de lui Menteur Ambitieux Intolérant
Libre Pervers Impulsif Téméraire »

Mon nom est Dwayne Iseult LIVINGSTON, ne me cherchez pas dans l’annuaire, je n’y serais pas. Le nom de famille que je porte m’est insupportable, pourtant je le garde et le garderais toute ma vie car il est également le nom de ma charmante mère. N’essais même pas de te croire supérieur à moi, tu ne le seras jamais, j’ai 300 ans tout juste, j’en suis fier. Pourtant j’ai l’apparence d’un gamin de vingt cinq ans. Dangereux ? Je le suis, c’est la raison pour laquelle tu n’oseras jamais t’aventurer la nuit lorsque je suis dans les parages. Tueur sanguinaire ? Bien entendu ! Doux et aimable ? Désolé, je ne vis pas dans le monde des bisounours. La gentillesse, la charité, l’amour, tout celas m’ai insupportable, invivable. Je suis un vampire, ne croise jamais mon chemin, tu risquerais de le regretter. Il n’est peut être arrivé d’être sociable durant quelques secondes, je ne peut m’expliquer, j’étais un excellent comédien autrement, à la cour, c’était obligatoire. Je suis imbattable au billard, j’en suis par ailleurs un fan inconditionnel, après avoir tuer un humain, un petit billard détend l’atmosphère. Ne perdant jamais je me fais un fric d’enfer. Riche ? Je le suis, on peut dire que je vis confortablement. Les gens ont, pour la plupart peur de moi, ce qui est vraiment un avantage.

Spoiler:

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« Le jour ou vous avez été Transformé . »

Tout n’était que mensonges et vie luxueuse dans le monde où vivaient les Livingston. J’avais alors vingt cinq ans, ce bal devait être pour moi le soir de mes fiançailles, mon père avait organisé un bal et bien entendu avait inviter toutes les jeunes demoiselles à marier de bonne compagnie de la ville de Londres. Mon père, ce monstre, j’étais le fruit d’un viol, ma mère ne l’aimait pas, d’ailleurs, qui aurait pu l’aimer ? Il était cruel, me battait, battait également ma mère, se goinfrait sans cesse. Personne ne pouvait rien lui reprocher, il faisait partit de la cour royale d’Angleterre. Le moindre mot de travers contre lui signifiait une mise à mort. Personne ne pouvait dire un mot sur ce vil personnage sans avoir la corde au cou. De nombreuses fois il voulu me la faire passer, dommage pour lui, j’étais un des jeunes hommes les plus adulé de la haute société. Ils m’aimaient, m’adoraient, me voulaient. J’étais beau, je le suis d’ailleurs toujours bien qu’à ce jour ma beauté ait été décuplée.
La mariage, voilà une notion dont j’ai toujours eut horreur, appartenir pour la fin de nos jours à une seule et unique femme me semblait terrifiant, d’autant que la seule femme que j’ai toujours aimé n’était qu’une servante que mon père s’empressa de tuer. C’était un tyran, comme tout bon tyran il ne laissait derrière lui que la mort, l’horreur et la misère, ne se préoccupant que de lui-même. Sa famille ? Il n’en avait rien à faire. La sans était la seule et unique chose qui le faisait jouir.
Le bal était insignifiant, vide et sans avenir. Je le savais, après ce soir là je n’aurais plus jamais eut de liberté, j’aurais appartenu à vie à une seule personne, j’aurais été comme tous ceux que je devais côtoyer chaque jour et qui m’insupportais. Je serais un homme dont le seul but est de rapporter de l’argent à sa famille, de faire admettre les règles de la bonne société à son enfant. Jamais une telle vie n’aurait pu me satisfaire. L’avenir me semblait tellement vide, sans vie, affreusement plate. J’ouvris les grandes portes vitrées de la salle de bal et sortis de cette affreuse ambiance que je ne pouvais supporter. J’étouffais, la vie, ce n’était pas comme celas que je l’imaginais. J’aimais les femmes, l’alcool, la drogues qui faisait son apparition sur le marché d’Angleterre, le sexe, la vie, l’argent. Je le savais, je l’ai toujours sus, jamais je ne ressemblerais à ces hommes. L’air frais et le vent qui caressaient mon visage se soir là avait un parfum étrange de liberté. Je marchais, me dirigeant tranquillement vers le lac artificiel du jardin.
C’est alors que je le vis. A quelque mètre de moi se tenait un être grand, je ne pouvais pas vraiment voir son visage, la lune était cachée et le ciel bien trop sombre pour pouvoir voir quoi que se soit.

Que fait vous ici ? Le bal ne se trouve pas dehors.
Je le sais.
Cette ambiance vous insupporte aussi non ?
Oui
Vous n’etes pas bavard…
C’est vrai.

La voix de cet homme était douce, on aurait pu croire qu’elle ne cherchait qu’à envoûter toute personne se trouvant dans les parages. Je ne savais pas qui se trouvait en face de moi, même si je l’avais su, je serais rester. Il s’avança, c’est alors que je le vis, il était beau, bien que je sois attiré par les femmes toute personne normalement constituée lui aurait trouvé un charme fou. Je les vis, ces énormes dents pointues, cet homme s’approchait, je ne bougeais pas. Un vampire ? Je n’avais jamais crus à toutes ces histoires pour gamins que les gens s’amusaient à raconter pour se faire peur. Ce soir là, j’étais obligé de les croire. Un mal me transperça le cou, je sentais mon sang se vider. Cette sensation était douloureuse, elle m’empêchait de bouger, tous mes membres étaient contractés. Mon corps s’effondra à terre. C’est alors que je réentendis cette voix.

Je suis là pour toi, ne t’inquiète pas. Tout se passera bien.

Je n’étais plus le même. A cet instant précis je sus que ma vie ne serait plus jamais la même, que j’étais différent. Je n’étais pas rassurer, pourtant je me sentais puissant. J’étais un vampire.

•• D W A Y N E _ My Eyes will follow U Crawfo10

Comment avez-vous réagi face à l'annonce de la guerre ?

Certaines personnes qui pensent me connaître vous affirmerons que si je suis méchant comme ils le disent ce n’est pas vraiment de ma faute, que ma vie n’a pas été facile, que mon père,ce tyran, y serait pour quelque chose. Ils n’ont pas vraiment tords. Une fois vampire, la première chose que je fis fut de la tuer. Je sais, mon acte étais impardonnable, pourtant je peux vous affirmer que je ne l’ais jamais regretter. Il le méritait. La peur dans ces yeux me fit sourire, je m’en souviens comme si ça c’était passé hier. Je me souviens avoir ressentit une joie immense lorsque mes crocs se sont plantés dans son cou gras. Je ne le faisais pas pour le sang, bien que ma soif se faisait ressentir je ne le faisais que par pure vengeance, par pure méchanceté. Rien d’autre.
Certes je ne suis pas quelqu’un d’aimant, je n’aime pas se sentiment de pitié qui vient parfois aux faibles. Je tues, mais surtout, je punis. Les pères, les mères, les meurtriers bien que certains n’invoquent que mon respect, je ne tues que ceux qui ne valent rien, des minables, des moins que riens, des gens qui ne valent pas la peine d’être sur terre. D’accord, je l’avoues, je suis une sorte de dieu, je prend la vie des gens lorsque je le souhaite, je peux également leurs donné une seconde vie, cependant je ne le fais pas. Ou du moins que très rarement.

Les guerres ? Je les adore, Parfois j’y trouve certaines perles rares que je peux transformé en vampire, tellement courageux que ces hommes ne méritent que la vie. S’ils se sentent des âmes de bon samaritains, il peuvent toujours se nourrir se sang d’animaux. Je n’aime pas juger les vampires, je ne juge que les êtres inférieurs. Comme je le disais, j’aime les guerres, j’y vois des hommes courageux, des monstres, des dirigeants. On n’y trouve de tous. Pour moi,j c’est toujours un vrai régal de me trouver sur le front, je tue tous ceux qui ne valent pas la peine de vivre, ceux qui, je le sens, ne ressentirons jamais d’amour, de pitié. Ceux qui sont comme mon père. En un sens, je le sais, je lui ressemble, seulement moi, je ne tus que ceux qui ne mérite pas de vire, ceux qui font des actes abominables. Il est vrai qu’il m’est arriver de tuer sans vraiment réfléchir, mais je me suis imposé une règle, je ne tue que les hommes. Les femmes ? Je n’y touche pas, je m’y amuse. Elles ont toujours étés une joie, un réconfort. Voilà pourquoi le bordel est mon meilleur ami.
Des guerres, j’en avais connus des dizaines, j’y étais toujours. Les hommes n’étaient rien pour moi, ils ne représentaient rien sinon ma vie passé, une vie fade et sans couleur. Ils étaient tellement avides de pouvoir qu’ils se tuaient entre eux, quelle bande d’animaux. Même pas capable d’être solidaire, de soutenir sa race. Après tous mesdames messieurs, peut être auriez vous, un jour, une autre race à combattre. Ce jour là, vous serez tellement divisé que vous ne pourrez combattre.
Cette guerre là était particulière, je le sentais depuis quelques années. Elle se pressentait comme terrible. L’idée même d’aider des humains m’était insupportable, lors des précédentes guerres je n’étais que spectateur et cette position m’allait très bien. Cette fois ci tout était différent. Je ne savais quoi penser, que devais-je faire ? Je n’en avais aucune idée. Mon esprit était embrouillé, ce que j’aimais n’étais autre que la fêtes, le sang coulant dans ma gorge sèche, le sexe, l’argent, tous les plaisirs de la vie qui font de moi ce que je suis. Je ne sais toujours pas ce que je dois faire, les laisser s’entre tuer, me nourrir de leurs sangs et attendre bien sagement ? Je me serais transformé en un lâche. Seulement le jour où les vampires serons vraiment en danger, croyez moi, jamais je ne resterais dans mon coin, laissant des animaux tels que les humains nous anéantir.
Je ne suis peut être pas un lion près à tuer tout ce qui bouge, je sais me contrôler, mais si l’on m’attaque, je peux devenir bien plus sauvage que n’importe quel animal vivant sur cette terre.

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Fiche Validée

Merci beaucoup
Je fais Abighail ;)