| | | Lena Volkova. Finis je pense ! |  |
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Lena Volkova
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| | Sujet: Lena Volkova. Finis je pense ! Ven 20 Fév - 21:33 | |
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Je m'appelle Lena Volkova, mon nom a des sonorités russes ?! c'est normal. Je suis russe. J'ai à présent dix-huit ans. Je fais partie de ce groupe de personnes qui les traquent sans relâches pour tous les tuer, pour purifier la planète si je puis dire. Je parais gamine, gentille, heureuse, épanouie comme ça, mais je vous en supplie, arrêtez de croire tout ce que l'on vous dit ! Je cherche à venger mes parents et ma soeur. Qui sont morts il y a maintenant huit ans ... à présent je vis près de Londres, en Angleterre, la Russie me manque, ma famille aussi.
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- Spoiler:
Bonjour, je me présente très rapidement, je m'appelle Léa, j'ai quatorze ans, vous comprenez donc pourquoi j'écris si mal !? J'habite dans le 64, je suis passionnée de musique, plus précisément par la guitare, le chant, et le piano que je pratique, et par la littérature. Mes auteurs préférés sont Voltaire, Shakespeare, Hugo et Château-Brillant. Je me suis inscrite sur votre forum car le contexte m'a comment dire ... tapé dans l'œil. Il est remarquablement bien écrit, et très intéressant. Il est, en plus, peu commun de voir ce genre de forum, ce qui le rend d'autant plus attrayant. Le design est superbe, il va très bien avec le contexte. J'espère que je serais validée, parce qu'il me tarde déjà de m'amuser ici. Le code du règlement est : I find you, little code.
Dernière édition par Lena Volkova le Sam 21 Fév - 1:23, édité 2 fois | |
| | | | Lena Volkova
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| | Sujet: Re: Lena Volkova. Finis je pense ! Ven 20 Fév - 21:48 | |
| I°) Le jour où j'ai tout compris !?
« Les apparences sont parfois trompeuses … » soyez francs et dites moi ce qui vous choque dans cette phrase, ou plutôt dans ce pseudo proverbe. Rien ? Ah bon … et bien moi ce qui me choque c’est " trompeuses ". Regardez-moi. Et dites moi ce que vous voyez. Vous voyez une jeune fille … visiblement heureuse, rousse, petite … enfin moi ! Vous ne m’imaginez pas capable de tuer une mouche (et pourtant j’en tue pleins !), et pourtant ! Je suis sûrement le contraire de ce à quoi vous pensez … Ô comme la vie est mal faite … qu’est ce que j’ai pu me répéter cette phrase ! Mais passons, je m’égare, je suis une tueuse, ou plutôt une chasseuse comme on dit ici. Je suis de ces gens qui ne croient plus à un monde paisible, à un monde où règnent le sexe, la drogue et l’alcool, simple caricature de la jeunesse d’aujourd’hui, le monde, heureusement n’est pas comme cela ! Vous savez, lorsque nous sommes petits, que nous ne pouvons dormir car notre cerveau nous dit « il y a un monstre sous ton lit … » et que nos parents viennent nous consoler en nous disant que les monstres n’existent pas, que les fantômes, démons, mutants, vampires … et tout cela n’existent pas. Et bien c’est faux. Arrêtons de croire tout ce que l’on entend, je ne crois que ce que je vois, et vous devriez faire de même. Je vais vous racontez une histoire maintenant. Ce jour où tout à basculé, où ma vie c’est mise entre parenthèses, où j’ai tout compris.
Flash Back.
13 juin 1932, Moscou _ Russie.
« Mademoiselle Lena, le proviseur voudrait vous voir, allez le rejoindre immédiatement. »
« Oui, madame. »
Je regardais un instant à la table derrière la mienne, Lana n’était toujours pas là. Je me levais sans faire le moindre bruit, me dirigeais vers la porte, Mme Katinöl me regardait tristement, elle n’affichait pas son habituel sourire. J’avais alors ouvert la porte, je regardais un instant mes camarades qui eux aussi semblaient tristes, je fermais la porte derrière moi. Que c’était-il passé ? Pourquoi étaient-ils tous au courant ? Pourquoi je ne l’étais pas ? Ces questions fusèrent dans ma tête, et en un instant je compris tout. Je piquais littéralement un sprint jusqu’au bureau du proviseur celui-ci m’y attendait, avec l’assistante sociale. Je me rappelais soudain pourquoi ma sœur n’était pas présente au collège, elle était souffrante, je l’avais oublié, j’avais été absente tout en étant là aujourd’hui. Le proviseur m’invita à m’asseoir, ce que je fis sans rechigne. Il regarda l’assistante sociale, qui lui fit un signe de tête. Il se leva et vint près de moi. Et il dit à voix basse :
« Je suis désolé … tes parents et Lana viennent d’être retrou…retrouvés … morts. »
Ce que je ressentis à ce moment là était indescriptible. Je ne saurais vous en faire part. Ce fut comme si on me tuait moi, même pas ! C’était pire. On venait de me dire que ma vie était fichue. Je le regardais les yeux exorbités, je ne contrôlais plus rien, j’avais envie de courir jusque chez moi et crier comme tous les soirs « Maman je suis rentrée ! » j’avais envie que ceci ne soit qu’un stupide et horrible cauchemar. Je voulais mourir en fait. Mais à la place je ne bougeais pas, une larme coula sur ma joue. Se fut la première que je versais pour eux. Je restais une bonne dizaine de minutes comme ceci, sans bouger. L’assistante sociale pleurait, je ne comprenais d’ailleurs pas pourquoi ! Elle ne les connaissait même pas ! Le proviseur ne savait pus où se mettre et paraissait triste. Puis d’un coup je me levais, ouvris la porte en trombe et courus le plus vite que je pusse. Je ne savais même pas où j’allais, mais je voulais partir, m’enfuir oublier, ne plus souffrir. Je voulais que ma mère sorte de je ne sais où, qu’elle me prenne dans ses bras et me chuchote tout en me bercent que tout était finit, que tout allait bien. Et que tout irait toujours bien.
Quelques jours plutard se fut ma tante qui arrivait. Une tante que je ne connaissais pas, elle avait l’air hautin et était habillée en grandes marques. Elle avait un sale accent anglais. Et ne parlait pas vraiment le russe. Du coup nous avions énormément de mal à nous comprendre. Elle demanda à voir les cadavres de mes parents et de Lana. Je la suivis sans broncher, je voulais pouvoir leur dire au revoir. Car je ne les reverrais sûrement pas de si tôt. Un homme nous ouvrit la porte et nous entrâmes dans une petite salle blanche. C’est là et seulement que je compris tout, ma tante demanda à l’homme de bien vouloir nous laisser quelques secondes, il accquiessa et se retira. Elle avança d’un pas décidé vers mes parents et Lana, regarda un par un leur cou. Une fois les trois vérifiés elle se tourna vers moi et me dit « il va falloir que je t’explique tout. » Elle n’avait plus aucun accent, ce qui me choqua évidement. Pourquoi avait-elle joué la petite tante anglaise ? Je m’avançais vers elle, elle me montra le cou de ma sœur, ce qui fut très pénible pour moi, car je vis son visage. Ses yeux étaient clos, elle était plus blanche que la neige, elle en bougeait pas. Son corps était posé là, comme un pantin. Ma tante s’excusa, elle n’avait pas pensé que ça me ferait mal. Evidement. Je remarquai qu’il y avait des traces sur son cou … des traces de morsures, elle me prit par la main et m’emmena sur le cadavre de ma mère, les mêmes traces au même endroit, puis sur celui de mon père et devinez quoi !? Les mêmes traces au même endroit. Je ne comprenais pas, en tout cas pas sur le moment. En trente secondes je compris. Des titres de livres défilaient dans ma tête « les vampires, vrai ou faux ? » , « faut-il y croire ? » , « nous sommes immortels ! » , « mourir pour les laisser vivre … » bien sûr ! Ma mère m’en avait à multiple reprise parlé ! Elle y croyait dur comme faire. Je regardais le cou de mon père, je me retourna doucement vers ma tante, celle-ci me regardait avec une intensité que je n’avais jamais vue, elle attendait quelque chose. Je me retourna vers mon père, regarda son cou et chuchota « des immortels … » à ce simple mot ma tante me prit par la main et m’emmena dehors.
« Lena, il faut que tu me fasses confiance, je vais t’emmener avec moi en Angleterre, je vais te former, tu verras, tout ira bien, je t’apprendrais tout sur eux. Tu ne dois pas avoir peur de moi. Se sont eux la cause de leur mort. On les retrouvera, je te le promès … »
Je ne dis rien, je ne pensais rien. Je n’avas qu’une envie : tous les tuer.
Voilà, en gros comment j’ai appris que ce qui était écrit dans les livres n’étaient pas que sottises, légendes, mythes. Je grandis loin de ceux que j’aimais. Je quittais mes amis, et mes grands parents, mon pays, ma vie en quelque sorte, pour aller vivre dans la banlieue de Londres, capitale de l’Angleterre. Ma tante m'appris tout ce que je pouvais apprendre elle me forma au combat si l'on peut dire ça comme ça. Je pratiquais tous les sports de combats possibles en plus de la gymnastique, l'école et moi n'étions plus si bons amis qu'auparavant, mais tout m'était égal. Je ne pensais qu'à une chose : les retrouver, et les tuer. Les souvenirs de ma vie, de ma vie passée me hantaient chaque nuit, ce qui enclenchaient immédiatement chez moi une envie de tous les tuer, de leur demander pourquoi ils avaient fait ça, ce qui les poussait à être de tels animaux incontrôlables. Je restais toujours sur ma fin.
Je sais à présent les repérés. Ils me croient stupides et incontinente, mais ils se trompent, du haut de mes dix-huit ans je suis sûrement bien plus agiles qu'eux, et bien plus réfléchis qu'eux.
Dernière édition par Lena Volkova le Ven 20 Fév - 22:42, édité 1 fois | |
| | | | Lena Volkova
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| | Sujet: Re: Lena Volkova. Finis je pense ! Ven 20 Fév - 21:49 | |
| II°) Apprendre, travailler encore et encore, sans relâches. Je crois que je m’attendais à tout sauf à ça. Cela faisait maintenant un mois et demi que ma famille proche était décédée, et déjà ma tante avait de grands, très grands projets pour moi. Elle me fit savoir tout ce que je pouvais savoir. Ma tête aurait pu exploser à force ! Mais je voulais les venger, j’avais ce sentiment d’amertume, d’injustice au fond de moi … il fallait débarrasser la planète de ces … bestioles ! Mais passons.
Un soir, en rentrant de l’école, ma tante me sauta dessus, dès que j’eusse franchi le seuil de la porte. Elle m’annonça qu’il fallait que l’on se prépare, car ça arriverait très vite maintenant. Elle me tira jusqu’à ma chambre, m’ordonna de me changer. Puis quitta la pièce en fermant la porte derrière elle. Je fermais les rideaux, puis m’avança jusqu’à mon lit. Un vieux tee-shirt avec écrit BOSTON dessus, et un pantacourt gris étaient posés là. J’en déduisais qu’il fallait que je mette ça. Je m’exécutai puis redescendis. Elle m’attendait, assise sur le divan. Elle sourie et dit « tout le portrait de sa mère … ». Elle m’emmena à la cave, pièce où je n’étais encore jamais allée, et où je n’avais jamais eu le droit d’aller. C’était une assez grande pièce, toute en longueur où étaient entreposés des machines de musculations : un tapi roulant, un vélo, des poids et toutes sortes d’autres engins de torture. Elle m’expliqua comment ils fonctionnaient et m’ordonna de m’y coller. C’est sans broncher que je m’y collai. C’était dur, je n’avais jamais fait ce genre de chose avant. Elle murmura un « et bha … ce n’est pas gagné. » que je n’étais pas censée entendre. Et vous pouvez me croire, à partir de ce moment là c’est chaque matin et chaque soir que je passais au minimum une heure dans cette salle à m’entraîner, sans relâche. La motivation était toujours la même : papa, maman et Lana. Ils ne me quittaient pas une seule seconde, ils ne me laissaient aucun moment de répit. Je ne me laissai aucun moment de répit. Entre les cours et les entraînements quotidiens j’étais hyper bouquée, mais ma tante Yulia m’ordonna de faire des sports de combat et reprendre la gymnastique.
Lorsque j’étais en Russie, à Moscou, je pratiquai déjà la gymnastique, avec ma sœur, et jamais sans ma sœur. Et là, de devoir recommencer ce sport que j’ai tant aimé, et que j’aime encore tellement, je pensai que c’était trop me demander. En un mois et demi elle m’avait demandé de mettre mon chagrin de côté, de repousser le deuil, de ne pas me lamenter, de ne pas y penser ne serait-ce qu’une seule seconde. Pourtant ils étaient omniprésents. Ils m’accompagnaient dans chacun de mes faits et gestes. Je sais qu’elle voulait bien faire, qu’elle voulait m’aider ! Mais j’avais vraiment l’impression qu’elle faisait ça pour elle, que c’était comme ça revanche ! Et que moi je lui servais seulement de second corps.
J’appris que beaucoup plus tard, deux ans après, en quoi allait consister ma " mission ". Je devrais les tuer, tous les anéantir. Je n’étais pas la seule dans ce cas là (ce n'était pas un remake de Buffy contre les vampires ! *oui je sais que ça n’existait pas, mais j’avais envie de le mettre quelque part, en hommage à ma série préférée*), beaucoup de gens étaient comme moi, dans le même cas. Des centaines de jeunes étaient formés, et préparés pour les tuer. Lorsque j’appris toute cette histoire je voulu tout arrêter. Ma tante ne s’y opposa pas, au contraire. Elle m’avait simplement vie « fais comme bon te semble … c’est ta vie après tout. » puis plus rien. Je m’y trois mois à reprendre le chemin de notre cave et celui des salles de sports. Ma tante fut ravie de mon choix. Elle comprenait que j’eus besoin de réfléchir, de me poser des questions, de peser le pour et le contre. Je ne voulais pas gâcher ma vie, je voulais la vivre pleinement comme tout adolescent de quatorze ans. Je ne pensais plus qu’à ça ensuite. Je n’avais qu’une envie : me jeter dans la gueule du loup, comme on dit. J’avais envie de mettre en pratique tout ce que j’avais appris. Mais c’est qu’à l’âge de mes seize ans que j’eus le droit de vivre mon premier combat. Heureusement pour moi ce fut facile, dans un environnement qui m’était très commun, de plus ma tante était juste derrière moi pour me donner quelques petits conseils.
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| | | | Sasha L. Cohen
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| | Sujet: Re: Lena Volkova. Finis je pense ! Sam 21 Fév - 3:01 | |
| D'accord, d'accord miss ! Alors déjà merci de t'être inscrite sur le forum et j'espère que tu vas bien l'aimer. Comme je le vois dans le début de ta fiche, ca a l'air d'être déjà le cas  En tout cas, ta belle fiche est validée. Bienvenue sur Last Day Alive. | |
| | | | Lena Volkova
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| | Sujet: Re: Lena Volkova. Finis je pense ! Sam 21 Fév - 14:19 | |
| Oh merci beaucoup !! Je suis toute contente !! Merci ! Je vais vous faire de la publicité vous allez voir ;) | |
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| | Sujet: Re: Lena Volkova. Finis je pense ! | |
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